93% des Français plébiscitent la recherche médicale, selon un sondage Ramsay Générale de Santé, premier groupe hospitalier privé à organiser sa recherche médicale
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Mardi 15 novembre 2016
93% des Français estiment qu’il est important que les établissements de santé, hôpitaux comme cliniques, participent à des programmes de recherche. Pour plus de 3/4 d’entre eux, cela permet même de renforcer la qualité des soins apportés aux patients, la crédibilité de l’établissement et l’attractivité de la structure auprès du personnel médical (1).
C’est pourquoi Ramsay Générale de Santé, leader de l’hospitalisation
privée en France, place au premier plan de ses orientations stratégiques la
recherche clinique.
En 2016, le groupe accélère sa politique de recherche et
devient le tout premier groupe privé à recevoir des subventions ministérielles (MERRI²),
destinées à financer les projets de recherche de ses praticiens. Parmi les spécialités
médicales en pointe chez Ramsay Générale de Santé : la chirurgie orthopédique et
traumatologie, la cardiologie et les maladies
cardiovasculaires, la gastro-entérologie, l’oncologie et l’anesthésie-réanimation.
- 93% des Français plébiscitent la recherche médicale au sein des établissements de santé, et pour 43%, c’est quelque chose de primordial,
- pour plus de 75%, cela permet de renforcer la qualité des soins apportés aux patients, la crédibilité de l’établissement, et l’attractivité de la structure en termes de ressources humaines,
- La recherche chez Ramsay Générale de santé, c’est :
- 2 200 articles scientifiques publiés par 800 médecins entre 2011 et 2015,
- 450 études actives,
- 4,6M€ de subventions obtenues en 2016.
Les Français plébiscitent la recherche au sein des
établissements de santé comme un gage de qualité, de crédibilité et d’attractivité
Pour les Français, pas de doute,
les bénéfices de la mise en place d’une politique de recherche au sein des établissements de
santé sont incontestables.
93% estiment ainsi qu’il est important que de telles
structures participent à des programmes de recherche (nouveaux
médicaments, nouvelles techniques, etc.) et près de la moitié d’entre eux (43%) est
persuadée que c’est quelque chose de primordial.
Pour plus de 3/4 des Français,
participer à des programmes de recherche permet par ailleurs aux établissements de santé de
mieux soigner leurs patients (77%), de renforcer leur crédibilité (76%), d’améliorer l’attractivité
de l’établissement auprès du personnel médical (76%), et enfin de valoriser leur image auprès du
grand public (73%)(1).
Cependant, la France connaît
depuis plusieurs années un exode des essais cliniques hors du territoire(3). C’est pourquoi la recherche clinique
conduite dans les hôpitaux privés est devenue un réel atout pour renforcer la compétitivité de
la France au plan international.
Consciente de cela, Ramsay
Générale de Santé, 1er groupe d’hospitalisation privée en France, a entamé une politique de recherche soutenue depuis 2012, avec la mise
en place d’une Direction de la Recherche et de l’Enseignement.
Puis dès 2014, Ramsay Générale de Santé dynamise sa
politique de recherche grâce à la création d’un Groupement de Coopération Sanitaire (GCS)
pour l’Enseignement et la Recherche.
71 établissements de Ramsay
Générale de Santé font à ce jour partie du GCS. D’ici fin 2016, l’ensemble des 124 établissements du Groupe en seront
membre.
La recherche est désormais portée
en interne par 900 praticiens qui publient des articles scientifiques dans des revues
médicales, 300 médecins investigateurs suivant les patients dans le cadre d’essais, issus d’une
dizaine de spécialités, avec 4 000 nouveaux patients inclus dans 450 études cliniques. Ces médecins
sont aidés par 40 Attachés de Recherche Clinique (ARC) répartis sur tout le territoire.
Entre 2012 et 2015 :
- le nombre d’investigateurs
a été multiplié par 2,1
- le nombre d’études
cliniques par 2,8
- et le nombre de
patients inclus dans des essais cliniques par 4.
Fort de tout cela, en 2015, le GCS du groupe Ramsay Générale de Santé
devient le premier à recevoir des subventions ministérielles qui s’élèvent à
4,6M€ en 2016 et prévoit une hausse de 15% des
publications scientifiques de la part de ses praticiens en un an.
« Avec la création du GCS, nous avons fait de la recherche
l’un des axes stratégiques du développement de Ramsay Générale de Santé. Car nous
sommes convaincus que promouvoir la recherche clinique contribue à mettre en évidence la
qualité de la prise en charge de nos patients dans nos établissements. C’est pourquoi la
Direction de la Recherche et de l’Enseignement a pour ambition de mobiliser toutes les
énergies prêtes à s’impliquer dans la recherche clinique pour parvenir, main dans la main avec
les autres structures, publiques comme privées, à faire progresser la recherche médicale
française dans l’intérêt des patients », commente Pascal Roché,
Directeur général du Groupe Ramsay Générale de Santé.
2 axes prioritaires pour Ramsay Générale de Santé : la
publication d’articles scientifiques et l’accompagnement
des projets de recherche des praticiens du Groupe
« Un tiers des ressources allouées permettent de financer les
médecins libéraux qui effectuent ces travaux de recherche en sus de leur activité
libérale. Le reste sert à financer les ARC (Attachés de Recherche Cliniques) ainsi que les moyens
mis à disposition des médecins chercheurs : aides méthodologiques et statistiques,
accompagnement technico-réglementaire, rédaction et traduction d’articles scientifiques, ou
encore l’allocation de bourses pour accueillir des chercheurs», conclut le Dr Stéphane Locret,
Directeur Recherche et Enseignement du Groupe Ramsay
Générale de Santé.
Entre 2011 et 2015, 2 200 articles
scientifiques ont été publiés par 800 médecins exerçant chez Ramsay Générale de Santé (soit 15%
de la population médicale du groupe) :
- 18,8% en
chirurgie orthopédique et traumatologie,
- 15,3% en
cardiologie et maladies cardiovasculaires,
- 9,9% en
gastro-entéro-hépatologie,
- ainsi qu’en
oncologie, chirurgie urologique, radiologie, chirurgie plastique
reconstructrice et esthétique, chirurgie
thoracique et cardiovasculaire…
« Nous sommes très fiers des contributions scientifiques de
nos praticiens, à la fois en termes de nombre d’articles publiés mais également en termes de
qualité, puisque près de la moitié de contributions le sont dans des revues scientifiques à
impact élevé. Ce sont ces articles qui ont permis, pour la première fois en 2015, l’obtention de
subventions ministérielles MERRI (Mission d’Enseignement de Recherche de Référence et d’Innovation),
à hauteur de 4,6M€.», commente le Dr Stéphane Locret. « Par ailleurs, il est important de souligner que l’intégralité
des subventions MERRI perçues sont utilisées à des fins de
recherche et d’enseignement, comme l’exige les statuts du GCS, garant du fléchage exclusif
du financement. »
Tous les ans, le GCS organise 2
appels à projets, et un Conseil d’Orientation Scientifique (COS) est chargé de sélectionner les
projets qui seront financés. Le COS assure un suivi trimestriel de ces projets. Depuis septembre 2015, 105 projets ont été soutenus.
A titre exemple, dans le cadre de
la session d’appel à projets de juin 2016, 35 projets et 6
bourses pour accueillir des
chercheurs ont été acceptés dont :
- 13 en chirurgie
orthopédique et traumatologie,
- 10 en
cardiologie et malades cardiovasculaires,
- 4 en anesthésie et réanimation.
(1) Enquête réalisée par Internet par Odoxa pour Ramsay Générale de Santé auprès d’un échantillon de 1 003 personnes représentatives de la population française, les 11 et 12 octobre 2016
(2) Missions d’Enseignement de Recherche de Référence et d’Innovation
(3) Enquête 2015 publiée par le LEEM : Place de la France dans la recherche clinique